Le départ en vacances approche. J'aimerais déjà y être, chez moi, dans le Sud, là où il fait beau.
Corvées de remise en ordre de la maison obligent, j'ai dû différer d'une semaine cette villégiature qui, je l'espère, me fera du bien et achèvera de me remettre les idées et le coeur en place.
Dans l'ordre aujourd'hui : nettoyage à fond de l'aquarium, nettoyage à fond d'une moitié de cuisine (je me réserve l'autre pour demain), postage de courrier (des factures, of course...), lessive, et là, miracle: la pluie ayant cessé, je me suis ENFIN attaquée à cette p... de haie de buis que personne n'a pu me tailler cette année, because opération du genou du voisin.
Depuis que je me suis montrée à lui "en caleçon", mon autre voisin est devenu fort urbain. Il est donc apparu avec sa cisaille à haie pour me donner un coup de main, et d'élan. Sans lui, je pense que j'y serais encore. Brave homme! Je lui ai dit qu'à la rentrée, je leur paierai l'apéro, à lui et à sa femme. C'est bien le moins.
Dans la foulée, j'ai fini de désherber mon jardin, avant la pluie. Je revenais tout juste de la déchetterie qu'il s'est remis à pleuvoir. Rentrée du linge pas sec à l'arrache, fournée de sèche-linge... et en route pour le repassage.
Ce soir, après manger (si je mange) , j'attaque les valises. Allez zou, tant qu'on y est...
J'ai un peu mal au dos.
Etonnant, non?
A tout prendre, je préfère encore le mal de dos au mal de coeur.